Extrait d’une didascalie du texte

Haru vit perchée sur un tas, une décharge d’objets obsolètes. Lorsque le spectacle démarre, on voit que ça fait déjà un moment qu’elle est là car elle a construit une cabane de fortune, et un dédale de passerelles (façon échafaudage sur piloBs) au-dessus du tas. Elle peut ainsi se déplacer et être en sécurité. Parfois le tas affleure jusqu’à son dédale de ponton, parfois, il est bien plus bas, inaccessible pour elle.

Haru. Théâtre Athénée Louis Jouvet à Paris, Sénart, Limoges, Gradignan, Saintes.

Conception et interprétation Romie Esteves Mise en scène Jean-Yves Ruf Composition Camille Rocailleux Livret Joël Bastard Scénographie Laure Pichat Costumes Claudia Jenatsch Lumières Victor Egea